Voici l’essentiel d’un dossier que nous venons de remarquer sur internet. Le propos va immanquablement vous intéresser. Car la thématique est « l’automobile ».
Le titre suggestif (« c’est une aubaine économique », pestent les commerçants d’Arles) synthétise tout l’article.
Sachez que l’éditorialiste (annoncé sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.
Les informations divulguées sont de ce fait estimées valables.
L’article original dont il s’agit :
Avec 300 à 500.000 touristes sur les quatre jours de la feria de Pâques, on comprend facilement pourquoi le sujet de la corrida divise à Arles. Ce mercredi, une proposition de loi
pour interdire la corrida entre en débat à l’Assemblée Nationale. À Arles, il y a ceux qui s’indignent de voir tant de personnes célébrer le spectacle de la mort, les aficionados et les commerçants qui se frottent les mains. Pour appuyer cet élan, la ville d’Arles avance régulièrement le chiffre de 12 millions d’euros de retombées sur les six jours de feria chaque année.
Huit Arlésiens sur dix favorables au maintien de la corrida
Pourtant, à Arles, 80% de la population est favorable au maintien de cette tradition dans une ville où la corrida est ancrée, selon un récent sondage Ifop
. En face des Arènes, la crêperie Chez Maman Goz de François fait salle comble quand vient la mi-avril : « Sur les quatre jours, on fait le chiffre d’affaires du mois, c’est une aubaine économique. » Il est même obligé de doubler le personnel « pour passer de trois à six employés et on ouvre de 8h à minuit. Malgré ça, on est plein à craquer », lâche cet Arlésien pur jus et défenseur de la tauromachie.
Sur les quatre jours, on fait le chiffre d’affaires du mois, c’est une aubaine économique – François, commerçant à Arles
À quelques encablures, l’hôtel Le Calendal qui fait face aux Arènes est pris d’assaut sur ces périodes. « En avril, l’établissement est rempli à 100% d’aficionados. C’est un peu plus partagé sur la feria de septembre car elle dure deux jours », remarque Frédéric, le patron. « C’est une clientèle aisée » poursuit-il.
Ça leur fait plaisir et nous on voit plus de clients, c’est bien pour tout le monde – la gérante d’une pizzeria d’Arles
Un peu plus loin, la gérante de la Pizzeria la Mamma reconnaît qu’elle n’est pas une passionnée de la corrida « mais qu’ils faut que ceux qui aiment puissent y aller. Ça leur fait plaisir et nous on voit plus de clients, c’est bien pour tout le monde« , conclut-elle.
Bibliographie :
Contes et récits de l’aventure automobile,Clicker Ici .
ISN Types de données,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
Photographie/Les premiers pas/Le temps de pose,Le livre .
Pour lire en automobile/Ouvrages de Théodore Vibert,Ouvrage .