Sur internet : Basket-ball : Alexandre Aygalenq, de l’Agen BC à l’équipe de France 3×3

3 3
3 3

Cet encart de quelques lignes ayant pour thématique « l’automobile » circule sur internet, nous avons projeté de vous le diffuser dans cette publication.

Le titre (Basket-ball : Alexandre Aygalenq, de l’Agen BC à l’équipe de France 3×3) est évocateur.

Le journaliste (identifié sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.

Ce texte peut ainsi être pris au sérieux.

Le papier a été divulgué à une date mentionnée 2022-06-01 10:01:00.

L’article source mentionné :

Du haut de ses 25 ans, l’Agenais Alexandre Aygalenq a été sélectionné en équipe de France de basket 3×3. Un premier accomplissement dans la carrière d’un joueur qui ne manque pas d’ambition.

Du chemin, Alexandre Aygalenq en a fait. Le basketteur né à Agen a enfilé la tenue de l’équipe de France de basket 3×3, à Tel-Aviv (Israël). Il a été retenu pour disputer le tournoi qualificatif pour la Coupe d’Europe, du 3 au 5 juin, après une préparation du côté d’Antibes. Une première étape dans un mois de juin intense où aura notamment lieu la Coupe du Monde, du 21 au 26 juin à Anvers (Belgique). Mais l’Agenais ne se fixe aucune limite. « L’objectif c’est de tout faire, j’ai envie de m’investir pleinement dans l’aventure ! Je me sens bien, prêt à y aller. »

Un long parcours

Avant d’en arriver là, Alexandre Aygalenq a fait ses premiers pas sur les parquets du Lot-et-Garonne, en basket 5 contre 5. « Toute ma famille habite vers Agen, mes parents sont à Astaffort. J’ai donc commencé à jouer à l’Agen Basket Club. À 14 ans, j’ai passé un premier vrai step à Tarbes où j’étais à l’internat. Ensuite, à 15 ans, j’ai intégré le centre de formation de Boulazac, pendant trois ans. » Puis Alexandre Aygalenq poursuit sa route. Tout d’abord, à Chalon/Saône où il dispute le championnat espoir de Pro A avant de revenir à Boulazac où il signe son premier contrat professionnel. Une opportunité qui lui permet de gratter quelques minutes en Pro A (Jeep Elite de l’époque). « Mais à l’issue de la première saison en professionnel, ils m’ont dit que c’était mieux pour moi que j’aille prendre du temps de jeu ailleurs », regrette-t-il. Alors, il a vagabondé avant de revenir dans le Sud-Ouest, à Toulouse, à l’été 2021. Dans la ville Rose, il a réalisé une première saison intéressante sur le plan personnel avec plus de 9 points de moyenne. « Concernant l’avenir, j’attends de voir les opportunités qui s’offrent à moi, même si pour le moment je suis bien focalisé sur le 3×3. »

Le 3×3, un sport différent

Car outre le basket à 5, Alexandre Aygalenq s’épanouit pleinement dans le 3×3 depuis le début de son aventure avec l’équipe de France, début 2020. « J’ai été contacté pour faire un premier stage. Ça s’est très bien passé, j’ai découvert l’état d’esprit, le jeu qui était proposé et ça a de suite collé. Après il y a eu le confinement donc ça a annihilé la préparation de la coupe du Monde U23. Mais ils m’ont resollicité en novembre 2020 pour être partenaire d’entraînement de l’équipe de France A qui a disputé toutes les grandes compétitions comme les JO », se souvient-il. Une expérience inoubliable qui lui a permis de mettre un pied dans ce milieu.

Désormais, alors qu’un renouvellement d’effectif a été effectué, il compte bien hisser son nom dans les quatre retenus pour les compétitions internationales. Depuis son premier stage avec les Bleus, Alexandre Aygalenq est en totale adéquation avec les principes du 3 contre 3. Il explique : « C’est assez instinctif comme jeu, on revient aux fondamentaux. Dans le 5×5, on tombe dans des schémas de jeu qui sont un peu robotisés alors que dans le 3×3, le match ne dure que 10 minutes donc il n’y a pas le temps de calculer. C’est beaucoup axé sur la défense car il n’y a que 12 secondes de possession. C’est rythmé, tu ne peux pas tricher. Si défensivement tu essaies de t’économiser, tu pénalises ton équipe car tu encaisses des paniers facilement. Aussi, il y a l’autonomie car le coach ne peut pas intervenir pendant le match, les joueurs se gèrent eux-mêmes. Nous les joueurs, il faut qu’on soit complet car il y a de la défense, du tir extérieur, etc. On n’a pas de poste fixe, tu dois maîtriser un peu tout. » Formé au poste d’arrière en 5 contre 5, l’Agenais met en pratique toutes ces qualités sous le maillot bleu. Ce qui lui permet, à 25 ans, de prétendre à une sélection pour la Coupe du Monde.

Parutions sur un propos comparable:

À travers l’Inde en automobile/18,A voir et à lire. .

En mémoire des églises assassinées/Journées en Automobile,A voir et à lire. .

Pour lire en automobile/Comment on meurt aux Colonies/12,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Pour lire en automobile/Le Monde sous-marin/04,Le livre .